lundi 30 janvier 2017

6 principes clés de la programmation neuro linguistique (deuxième partie) : la réalité est plus vaste que ce que l'on perçoit.




Déjà, les shadoks étaient au courant



Je poursuis mes articles sur la programmation neuro linguistique. Il y a six principes clés en PNL que je vais détailler. J'aborde aujourd'hui le deuxième principe, la réalité est plus vaste que ce que l'on perçoit ou "Une carte n'est pas le territoire"

1) La parole crée les idées dans le réel.
2) La réalité est plus vaste que ce que l’on en perçoit.
3) Notre existence est à l’image de notre vision du monde.
4) Nos limites sont en nous.
5) Chacun de nous fait le meilleur choix possible.
6) Chacun de nous possède les ressources nécessaires pour vivre heureux.

2) La réalité est plus vaste que ce que l’on en perçoit.
Nos idées proviennent d’un univers bien plus vaste que celui que l’on perçoit consciemment. Comme le disait le fondateur de la « sémantique générale », Alfred Korsybski, « Une carte n’est pas le territoire. » : nous ne discernons qu’une petite partie du monde. Par exemple, le chien sent plus d’odeurs que nous, l’aigle voit bien mieux que nous et nous ne voyons d’ailleurs pas toutes les couleurs possibles (ni les ultraviolets, ni les infrarouges par exemple) et tout est comme cela. Nous nous sommes forgés, depuis tout petit, une carte du vaste territoire qui nous entoure. Mais cette carte n’est justement qu’une carte, pas la réelle réalité, que nous ne pouvons pas même imaginer. Ainsi :

a) Nous « construisons » notre réalité, notre carte, avec les éléments qui nous sont accessibles au plan sensoriel (les images, les sons, les sensations), avec notre éducation et toutes les idées que nous avons eues sur le monde.

b) Cette carte ne peut donc être qu’une représentation adaptée, personnelle, du territoire (la « réelle réalité »).

c) Il n’existe ainsi pas de carte plus vraie qu’une autre ; chacun a sa vision du monde, voilà tout, même si celle-ci est très différente de la nôtre, on ne peut pas dire pour autant qu’elle soit fausse, elle est juste différente.

d) On ne peut pas connaître la carte du monde de quelqu’un d’autre sans l’interroger précisément dessus ; attention aux interprétations que l’on fait souvent sans même s’en rendre compte : pour savoir ce que pense l’autre, il faut lui demander, il n’y a pas d’autre solution.

e) Même le langage est une carte, car un mot ou une phrase n’est pas le message lui-même, c’est son porteur. « Bonjour » par exemple ne se dit pas de la même façon dans toutes les langues mais l’intention de dire « Bonjour » est bien le même message porté par les différents mots.

Voilà. C’est tout pour le moment. Amitiés à tous.

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